News
Un homme dépense des milliards…chirurgicale et devient «inhumain que possible»

L’artiste allemand de modification corporelle, qui se fait appeler Black Depression, a eu la langue fendue, les globes oculaires tatoués, le visage encré, le cartilage des oreilles enlevé et plus encore
Un «Puzzle humain» qui a transformé son visage en jeu de société et veut avoir l’air aussi «inhumain que possible» a dépensé 12 500 £ en modifications corporelles et en encre.
L’homme, connu uniquement par son pseudo Instagram – Black Depression – a passé des années à se transformer en utilisant une encre faciale bizarre.
L’artiste de modifications corporelles, originaire des monts Métallifères, en Allemagne, a déboursé jusqu’à présent 15 000 € (environ 12 500 £) pour son look et s’inspire des jeux.
Il admet même qu’il veut avoir l’air aussi loin de l’humain qu’il est capable de le faire.
Le joueur de 28 ans a une variété de pièces de puzzle et de carreaux de puzzle encrés sur son front, sa mâchoire et ses joues – certaines sont laissées transparentes tandis que d’autres sont remplies de couleurs comme le rouge, le vert, le bleu et le rose.
Les tatouages s’étendent le long de son cou et de ses épaules.
De plus, l’homme de 28 ans a également enlevé des morceaux de son cartilage d’oreille lors d’une procédure chirurgicale.
Il s’est également fait percer et étirer les lobes des oreilles et les narines – et il s’est tatoué le blanc de ses globes oculaires dans une teinte noire de jais.
Le tatouage du globe oculaire, également connu sous le nom de tatouage scléral, injecte l’encre entre deux couches de l’œil où elle s’étale sur une grande surface.
Le pigment repose sous la fine couche supérieure de l’œil, ou conjonctive.
Peu de professionnels sont à l’aise pour effectuer la procédure qui a conduit à la cécité chez certains extrémistes mod corporels.
L’artiste allemand Black Depression a également les deux rangées de dents couronnées de titane.
«La modification corporelle me fascine depuis de nombreuses années. Je peux faire mon truc individuel, pas la même chose que ce que font les autres», a-t-il commenté.
Je peux créer et changer mon corps comme je voudrais qu’il soit.
Je ne suis pas une tendance comme beaucoup d’autres personnes. Au fil des années, j’ai développé ma propre tendance, que personne d’autre ne porte.
«Je vais chez différents artistes de mod corporel à travers le monde, et j’effectue également certaines procédures sur moi-même.»
Black Depression a commencé son voyage à l’âge de 20 ans, optant pour une procédure de séparation de la langue – une modification illégale en Angleterre et au Pays de Galles à partir de 2018.
En effet, cela peut entraîner de graves pertes de sang, des lésions nerveuses et des difficultés respiratoires.
Il a déclaré : «J’ai commencé à modifier mon corps à l’âge de 20 ans. Ma première procédure a été de me fendre la langue. Ensuite, la moitié de mon oreillette [partie visible de l’oreille externe] a été amputée des deux côtés.»
Mais, il n’est pas encore satisfait de son look et prévoit d’avoir d’autres tatouages et interventions chirurgicales bientôt.
News
Bénin : la première édition du FInAB officiellement lancé à Cotonou

Le Festival international des Arts du Bénin (FInAB) a officiellement démarré ce mardi 14 février 2023, à Cotonou au marché Tokp’Art à Fidjrossè plage fin pavés en présence de plusieurs personnalités.
Placé sous le thème «La diversité culturelle, un levier d’attraction et de rayonnement pour les pays du Sud», ce festival vise à promouvoir l’art et la culture du Bénin et de l’Afrique auprès d’un public international et à mettre en lumière les talents de la région.
Assurant l’intérim de son homologue du ministère de la Culture, le ministre des Sports Oswald Homeky assisté du président du FInAB Ulrich Adjovi et le maire de la ville de Cotonou Luc Atrokpo ont lancé officiellement les activités du 1er Marché des Arts du Bénin.
Ainsi, du 14 au 19 février, le FInAB entend promouvoir et célébrer l’art dans toutes ses dimensions à travers une centaine d’activités regroupant la musique, la danse, le théâtre, les arts plastiques, le cinéma, la littérature et la mode.
News
Affaire Pogba : «Un joueur très connu dont le père a fait sacrifier des gamins pour…»

Alors que l’affaire Pogba comprend un volet maraboutage, Romain Molina a raconté que le père d’un joueur très connu n’avait pas hésité à sacrifier de jeunes enfants pour servir la carrière de son fils.
C’est une affaire qui est sur toutes les lèvres depuis quelques jours. Le célèbre international français Paul Pogba serait victime de chantage de la part de son frère Mathias, mais également d’amis d’enfance.
Ces derniers lui auraient réclamé plusieurs millions d’euros pour «service rendu», considérant qu’il lui avait offert une discrète protection ces dernières années.
Nos confrères de Franceinfo ont même révélé que le joueur avait été menacé avec une arme, contraint de remettre 100.000 euros et de signer un papier en s’engageant à payer le reste de la somme.
Des révélations qui font énormément réagir sur la planète football. Et pour certains, à l’instar du journaliste Romain Molina, cette affaire n’est malheureusement que la partie émergée de l’iceberg et de nombreux autres cas de pressions et de chantages existeraient dans le milieu.
Dans une vidéo publiée sur son compte Youtube, Romain Molina a par ailleurs assuré que les conflits familiaux sont légion dans le football français, citant ainsi les cas de Kurt Zouma, Ferland Mendy ou Hatem Ben Arfa. Mais à l’en croire, cela est bien peu de choses comparé à d’autres affaires bien plus sombre.
Alors que Mathias Pogba accuse son frère d’avoir recours à des marabouts et voulu jeter un sort à Kylian Mbappé, Romain Molina a ainsi évoqué une terrible histoire de sorcellerie.
«La criminalité de ce sport est un délire. On me parle d’affaire Pogba, de rackets… C’est peanuts. C’est un épiphénomène dans un monde que les gens ne veulent pas voir», a-t-il prévenu.
En ajoutant : «Tu as un joueur très connu dont le père a fait sacrifier des gamins pour ‘aider’ à la réussite de son fils. Il n’a jamais été poursuivi. Quand je dis que c’est gore, c’est gore. Et ce que je dis, c’est peut-être 20 ou 30% de ce qui se passe réellement.», a conclu le journaliste.