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«Je suis à toi», «plus fort», «fais-moi ce que tu veux» : quels sont les mots les plus utilisés pendant l’amour ?

Au lit, on a tous nos petits mots doux (ou pas) et nos phrases fétiches. Vous savez, celles qui nous excitent beaucoup, et avec lesquelles on perd le contrôle. Ces petites phrases qui, dites à l’oreille, peuvent avoir un effet puissant sur votre appétit sexuel et votre excitation envers votre partenaire.
Plus communément appelé le «Dirty Talk» (eh oui, encore un terme anglais, désolé les boomers), cette pratique consistant à murmurer (ou crier selon les préférences) des insanités afin d’exciter notre partenaire, devient de moins en moins tabou. Mais quels sont les termes préférés ?
Biba magazine rapporte une étude d’un chercheur australien qui met en avant les termes les plus utilisés pendant l’acte sexuel. «Plus vite», «plus fort», «continue» : les mots pour guider, c’est excitant
Lors de l’acte sexuel, il est important d’encourager son partenaire. Et beaucoup le font. En plus d’exciter sa moitié, cela apporte une touche de fantaisie à l’acte sexuel. En lui indiquant d’aller plus fort, ou plus vite, vous exprimez aussi un désir instinctif de vouloir quelque chose, tout de suite.
C’est aussi une manière de prendre le contrôle de l’acte sexuel, en exprimant vos désirs à travers un «ordre» . En vous exprimant, ce n’est pas seulement une façon d’extérioriser, mais c’est aussi votre façon de dire à votre partenaire ce que vous désirez à l’instant T.
«Fais-moi ce que tu veux» : l’art de la soumission
La soumission, ça a du bon. Après, chacun a ses limites. Vouloir être soumis à la personne avec qui on fait l’amour, ce n’est pas se rabaisser face à elle. La soumission, on aime ou on n’aime pas, et personne ne doit juger.
C’est aussi une envie qui se fait à travers plusieurs «ordres» donnés à votre partenaire : «Tires moi les cheveux», «couvre moi la bouche» … Tous ces désirs de soumission, s’ils sont exaucés, pourraient vous faire monter au septième ciel.
«J’imagine qu’on nous regarde», «j’imagine qu’on nous rejoint» : le fantasme, pour aller plus loin
L’imagination est importante pendant l’acte sexuel. Être dans une pièce où la décoration n’est pas moderne, ou parce que la chambre de votre partenaire est collée à celle de sa grand-mère, l’imagination est une sorte de bulle qui permet de s’évader.
S’imaginer dans un autre lieu, dans une chambre décorée différemment etc. Cela permet d’augmenter le plaisir sexuel. Dans le noir, vous êtes plus sujet à vous imaginer des choses : des personnes qui vous regardent (même si c’est glauque pour certains), s’imaginer dans un lieu différent etc.
«Appelle-moi maître», «Mon nom est : maîtresse», «Tu m’es dévoué » : la domination à la Christian Grey
Même si Christian Grey est un peu dépassé, il continue d’être l’exemple typique de la domination. La soumission et la domination se complètent, mais sont soumises à des approches différentes.
Dans la domination, le principe est de donner un ordre clair à votre partenaire, dans le but que ce/ cette dernier (-ère) vous écoute sans broncher, sans aucune rébellion. Les insultes font parfois partie de ce jeu de domination. En plus des paroles, les accessoires sexuels et la gestuelle sont deux choses intéressantes.
Bâillonner son/sa partenaire sexuel(le), lui mettre la main devant la bouche ou la tête dans l’oreiller en lui ordonnant de se taire… Et pleins d’autres exemples qu’on préfère garder pour nous. À vous de faire votre propre expérience…
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Bénin : la première édition du FInAB officiellement lancé à Cotonou

Le Festival international des Arts du Bénin (FInAB) a officiellement démarré ce mardi 14 février 2023, à Cotonou au marché Tokp’Art à Fidjrossè plage fin pavés en présence de plusieurs personnalités.
Placé sous le thème «La diversité culturelle, un levier d’attraction et de rayonnement pour les pays du Sud», ce festival vise à promouvoir l’art et la culture du Bénin et de l’Afrique auprès d’un public international et à mettre en lumière les talents de la région.
Assurant l’intérim de son homologue du ministère de la Culture, le ministre des Sports Oswald Homeky assisté du président du FInAB Ulrich Adjovi et le maire de la ville de Cotonou Luc Atrokpo ont lancé officiellement les activités du 1er Marché des Arts du Bénin.
Ainsi, du 14 au 19 février, le FInAB entend promouvoir et célébrer l’art dans toutes ses dimensions à travers une centaine d’activités regroupant la musique, la danse, le théâtre, les arts plastiques, le cinéma, la littérature et la mode.
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Affaire Pogba : «Un joueur très connu dont le père a fait sacrifier des gamins pour…»

Alors que l’affaire Pogba comprend un volet maraboutage, Romain Molina a raconté que le père d’un joueur très connu n’avait pas hésité à sacrifier de jeunes enfants pour servir la carrière de son fils.
C’est une affaire qui est sur toutes les lèvres depuis quelques jours. Le célèbre international français Paul Pogba serait victime de chantage de la part de son frère Mathias, mais également d’amis d’enfance.
Ces derniers lui auraient réclamé plusieurs millions d’euros pour «service rendu», considérant qu’il lui avait offert une discrète protection ces dernières années.
Nos confrères de Franceinfo ont même révélé que le joueur avait été menacé avec une arme, contraint de remettre 100.000 euros et de signer un papier en s’engageant à payer le reste de la somme.
Des révélations qui font énormément réagir sur la planète football. Et pour certains, à l’instar du journaliste Romain Molina, cette affaire n’est malheureusement que la partie émergée de l’iceberg et de nombreux autres cas de pressions et de chantages existeraient dans le milieu.
Dans une vidéo publiée sur son compte Youtube, Romain Molina a par ailleurs assuré que les conflits familiaux sont légion dans le football français, citant ainsi les cas de Kurt Zouma, Ferland Mendy ou Hatem Ben Arfa. Mais à l’en croire, cela est bien peu de choses comparé à d’autres affaires bien plus sombre.
Alors que Mathias Pogba accuse son frère d’avoir recours à des marabouts et voulu jeter un sort à Kylian Mbappé, Romain Molina a ainsi évoqué une terrible histoire de sorcellerie.
«La criminalité de ce sport est un délire. On me parle d’affaire Pogba, de rackets… C’est peanuts. C’est un épiphénomène dans un monde que les gens ne veulent pas voir», a-t-il prévenu.
En ajoutant : «Tu as un joueur très connu dont le père a fait sacrifier des gamins pour ‘aider’ à la réussite de son fils. Il n’a jamais été poursuivi. Quand je dis que c’est gore, c’est gore. Et ce que je dis, c’est peut-être 20 ou 30% de ce qui se passe réellement.», a conclu le journaliste.