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Confidence : «j’ai commencé par baiser ma mère depuis que j’ai 22 ans», avoue un homme de 45ans

Dépassé par sa situation, cet homme âgé de 45 ans avoue qu’il couche avec sa mère biologique depuis qu’il a 22 ans. Il s’est rendu sur les réseaux sociaux pour demander des conseils aux internautes.
Dans sa publication, il a fait savoir qu’il a trois enfants et c’est sa mère biologique qui est la mère de ses enfants. Il veut aujourd’hui mettre fin à cette situation abominable mais sa mère s’y oppose et menace de dire toute la vérité à la famille.
«Veuillez me publier cela en ano s’il vous plaît. Je suis un homme de 45 ans et Dieu m’a béni avec 3 enfants. Je vis avec un secret qui depuis toujours me fatigue l’esprit. J’ai couché avec ma mère biologique depuis que j’avais 22 ans. Elle a 8 enfants dont 3 m’appartiennent. J’ai appelé ma maman et je lui ai dit que je voulais arrêter, mais elle ne veut pas. Elle menace de tout dévoiler. Je risque de froisser mon père et je ne veux pas non plus perdre ma femme. S’il vous plaît aidez-moi», a-t-il publié.
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Bénin : la première édition du FInAB officiellement lancé à Cotonou

Le Festival international des Arts du Bénin (FInAB) a officiellement démarré ce mardi 14 février 2023, à Cotonou au marché Tokp’Art à Fidjrossè plage fin pavés en présence de plusieurs personnalités.
Placé sous le thème «La diversité culturelle, un levier d’attraction et de rayonnement pour les pays du Sud», ce festival vise à promouvoir l’art et la culture du Bénin et de l’Afrique auprès d’un public international et à mettre en lumière les talents de la région.
Assurant l’intérim de son homologue du ministère de la Culture, le ministre des Sports Oswald Homeky assisté du président du FInAB Ulrich Adjovi et le maire de la ville de Cotonou Luc Atrokpo ont lancé officiellement les activités du 1er Marché des Arts du Bénin.
Ainsi, du 14 au 19 février, le FInAB entend promouvoir et célébrer l’art dans toutes ses dimensions à travers une centaine d’activités regroupant la musique, la danse, le théâtre, les arts plastiques, le cinéma, la littérature et la mode.
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Affaire Pogba : «Un joueur très connu dont le père a fait sacrifier des gamins pour…»

Alors que l’affaire Pogba comprend un volet maraboutage, Romain Molina a raconté que le père d’un joueur très connu n’avait pas hésité à sacrifier de jeunes enfants pour servir la carrière de son fils.
C’est une affaire qui est sur toutes les lèvres depuis quelques jours. Le célèbre international français Paul Pogba serait victime de chantage de la part de son frère Mathias, mais également d’amis d’enfance.
Ces derniers lui auraient réclamé plusieurs millions d’euros pour «service rendu», considérant qu’il lui avait offert une discrète protection ces dernières années.
Nos confrères de Franceinfo ont même révélé que le joueur avait été menacé avec une arme, contraint de remettre 100.000 euros et de signer un papier en s’engageant à payer le reste de la somme.
Des révélations qui font énormément réagir sur la planète football. Et pour certains, à l’instar du journaliste Romain Molina, cette affaire n’est malheureusement que la partie émergée de l’iceberg et de nombreux autres cas de pressions et de chantages existeraient dans le milieu.
Dans une vidéo publiée sur son compte Youtube, Romain Molina a par ailleurs assuré que les conflits familiaux sont légion dans le football français, citant ainsi les cas de Kurt Zouma, Ferland Mendy ou Hatem Ben Arfa. Mais à l’en croire, cela est bien peu de choses comparé à d’autres affaires bien plus sombre.
Alors que Mathias Pogba accuse son frère d’avoir recours à des marabouts et voulu jeter un sort à Kylian Mbappé, Romain Molina a ainsi évoqué une terrible histoire de sorcellerie.
«La criminalité de ce sport est un délire. On me parle d’affaire Pogba, de rackets… C’est peanuts. C’est un épiphénomène dans un monde que les gens ne veulent pas voir», a-t-il prévenu.
En ajoutant : «Tu as un joueur très connu dont le père a fait sacrifier des gamins pour ‘aider’ à la réussite de son fils. Il n’a jamais été poursuivi. Quand je dis que c’est gore, c’est gore. Et ce que je dis, c’est peut-être 20 ou 30% de ce qui se passe réellement.», a conclu le journaliste.